Charlotte Le Bon, réalisatrice de « Falcon Lake » : « Les fantômes, ça me parle »
Entretien La comédienne canadienne réalise son premier long-métrage, « Falcon Lake », récit de l’éveil à la sexualité d’un adolescent au bord d’un lac où rôderait un spectre. Interview.
Abonné
Vous voulez participer au débat ?
S’abonner permet de commenter les articles. Et pas que : vous pouvez les consulter et les offrir à vos proches.
Vous avez envie d’offrir cet article ?
S’abonner permet d’offrir les articles à vos proches. Et pas que : vous pouvez les consulter et les commenter.
Avec « Falcon Lake », son premier long-métrage, qu’elle avait présenté à la Quinzaine des Réalisateurs au Festival de Cannes, tourné en vingt-six jours et adapté d’« une Sœur », roman graphique de Bastien Vivès que lui avait donné Jalil Lespert, la fougueuse Charlotte Le Bon – sens du cadre inouï – envahit les grands espaces américains, file là où personne ne l’attendait et impose sa personnalité d’emblée. Son film raconte l’éveil à la sexualité de Bastien, 15 ans, venu de France avec sa famille pour les vacances, au bord d’un lac canadien où rôderait un spectre. Entretien express.
Publicité
Qu’est-ce qui vous a happée dans le roman graphique de Bastien Vivès, « une Sœur » ?
Je m’identifiais à ce qu’il racontait, ce truc assez cru des premières pulsions sexuelles. Avec l’aide de François Choquet – le scénariste de « la Femme de mon frère », de Monia Chokri, qui m’a tenu la main lorsque j’étais perdue –, je me suis réapproprié le sujet. Et j’ai décidé de flirter avec le film d’horreur. On est presque dans une fable avec cette légende …
Vous voulez lire la suite de cet article ?
S’abonner permet de consulter tous les articles. Et pas que : vous pouvez les commenter et les offrir à vos proches.
Exclu : 1€
pour 3 mois